MEANING MY LIFE

Vivre en mode minimaliste, simplement, facilement, sans complexe.

Sensiblement pareil, et pourtant

Il est question d’un départ, l’on pourrait croire à un nouveau départ, ou au même départ, voir à un faux départ, mais de ces trois, il n’en est pourtant rien. Et pourtant, c’est un départ, sensiblement pareil, mais différent.

Voyez vous, dans la quête de ma propre exploration, du fait du minimalisme, qui n’est qu’une piètre excuse pour trouver la raison, le “meaning my life” que j’explore depuis quelques années, et profondément depuis quelques mois.

J’ai débuté par un voyage depuis la suisse, et tout liquidé sur place, afin de partir vivre dans mon dacia duster, et ça, c’était le “grand départ” enfin c’est ce que je croyais.

Quelques mois se sont écoulés, et le temps passé dans mon véhicule était une belle exploration. J’entremêlait des cours de surf, puis de kitesurf, du temps sur la plage, prodiguer des soins énergétiques, et prodiguer des hypnoses à distance et en présence. des soins et séances de thérapie reçues également, et des rencontres humaines magnifiques. Tout cela, sans compter bien entendu les blessures, car la vie avait un plan, quand bien même je n’en avais pas conscience.

Voyez vous, en surfant, j’ai réussi à me casser un orteil 3 fois, oui 3 fois… puis le temps de plage, un autre orteil… 2 fois. Là, j me suis dit, y’a quand même un truc, et j’ai exploré la métamédecine, la réflexion sur les blessures psycho-somatiques, et j’en passe. Puis j me suis dit, j’ai envie de faire du kite-surf, Génial, on est a Fuerteventura, soleil, mer, conditions sublimes, j’y vais… je me lance.

Et si je vous disais que là, au moment ou je commence à bien kiffer le kite, j’écrivais un post après 4.5 mois ici, j me sens bien, je commence à prendre confiance, je me pète un petit doigt, qui n’est pas encore remis, et que 10 jours plus tard je finis dans des rochers avec le kitesurf, et que j’ai la main ouverte totalement, 10 points de suture et actuellement en phase de faire 6 semaines de récupération, rétablissement ?

Ce que ça a fait et changé ? 6 semaines, sans pouvoir se mettre à l’eau, ni aller à la plage pendant 1 mois, alors qu’on vit sur une île bordée de mer, de plages, de gens qui surfent, kitesurf, bodyboard, bronzent… Bin ça bouscule bien la vie qu’on imaginait avoir…

Bref, pour la faire courte, j’ai repris un logement, donc moi, mes sacs à dos, toutes mes affaires, se sont retrouvées dans un logement courte durée, empilés, entassés, car j’ai vidé la voiture entièrement afin de faire un peu de tri en passant.

La violence du retour entre 4 murs est surprenante. Chaleur, pas le son de la mer, pas le vent pour aérer tout le corps, rien de tout cela. Et pourtant, internet, électricité, douches, frigo… plein de commodités. Donc il y a bien entendu des avantages, c’est non négligeable.

Ce que j’en ai appris, mais il m’aura fallu 6 mois quand même… c’est que l’île avait un plan qui n’était pas le fun, surf, kite que j’imaginais. Non, non, car sinon, pourquoi le tout serait allé crescendo ? la casse avançait de plus en plus grave… quid de si je n’avais pas écouté ce signe à la main ouverte ? Je n’en sais rien, personne ne le sait, mais cependant, ce que je constate, c’est que depuis que j’ai décidé de me remettre à mon introspection, mon intériorité, des choses changent en moi, à l’extérieur, et partout.

Puis, s’en est suivi un décès, mon beau-père, départ en Bretagne, il était important pour moi d’y être, passer du temps avec ma belle-famille, les cousins, la cousine d’Isa, les enfants, et du monde sur place, et poursuivre un parcours de deuil que je n’avais pas complété dans le même temps. Un allez-retour qui m’a fait quitter l’île pour la première fois en 6 mois, un choc culturel avec le retour en france, de végétation également avec la verdure et la température, et énergétique, car chaque lieu a sa fréquence.

Je ne vous cache pas que cet allez-retour a été intense, et le retour également, temps de se réadapter à nouveau et faire ce chemin intérieur qui se poursuit le long d’une vie.

Aujourd’hui, il s’agit d’un nouveau saut quantique… car oui, je repars en suisse, mais ça n’est pas sans avoir campérisé mon duster un petit peu à l’aide de Thomas Mercier, un gars topissime sur l’île, aux multiples talents, un mec qui a fait le caméléon, et dont les histoires valent sa déconnade et ses compétences et sa simple présence.

Maintenant, c’est bien joli d’avoir campérisé, mais Olivier, t’en es ou de ton bordel ? Bin euh… j’ai donné un sac de fringues à Marcus pour son sac de frappe de boxe… j’ai viré qq trucs… Oui ok, t’es gentil, mais avec ce que t’as rajouté, t’es comment là ?

Bin à vrai dire, c’est un peu le chaos. J’ai toujours 3 sacs à dos, et j’ai maintenant de quoi organiser, ranger mes affaires dans mon Duster. Ce qui fait que j’ai trié un peu… et j’ai en tout cas 2 sacs dont le contenu ne me sert à rien, oui, à rien. Attaché à moi, là, comme une moule à son filet, et qui ne me sert pas plus que ça.

Tu sais, ce sont des sacs à dos, c’est quand même dingue, certains ont des valises, moi j’ai des sacs à dos, et si on prend la métaphore, elle est sacrément belle, ces sacs à dos, de souvenirs, de choses qu’on a, qu’on garde, qu’on porte, qui nous pèsent et dont on n’est pas prêts à se libérer ?

Bref, je crois que t’as compris le topo. Car même si tu vas chez un thérapeute, ne crois pas qu’il a tout réglé, ça serait un gros menteur égotique. Chacun a son chemin, ses affaires, ses briques et ses sacs à dos ou valises.

Donc l’étape suivante, c’est un retour en suisse, pendant 3 semaines, et une remontée et redescente sur 10 jours chacune, puis… une formation à la kundalini, afin de développer encore un peu plus mes perceptions et sensations, je me réjouis, t’imagine même pas.

Mais en attendant, ce départ est sensiblement pareil, et pourtant… Car j’ai une partie de moi qui ne souhaite pas partir, et une partie qui se réjouis d’y aller. Une part qui retourne en suisse comme on va en vacances, et une qui se dit : “La maison, c’est où?” et c’est ici, je le sens, en tout cas pour quelques temps, à fuerteventura.

Un retour à vivre dans la voiture, après 6 semaines en logement. Mais un retour à plat… et pas en travers, car j’ai équipé correctement. Un retour en été avec grandes températures, du monde en espagne, pas Chill de l’hiver sans personne.

Un retour en 3 étapes, genève, champéry, la Chaux-de-Fonds, ou je me réjouis de revoir ma fille, mes amis, la famille, et plein de gens que j’aime. Un peu comme je le faisais à Majorque, à Noël. Analogie intéressante de ce nouveau parcours, car c’est d’une île que je repars, pour revenir sur la terre ferme, naviguer, voguer à nouveau vers l’inconnu, comme me disais Carine, une amie qui a le mot juste, lors de ma première traversée.

Tout ceci pour te dire que l’inconnu, le renouveau, le nouveau départ, c’est tout le temps, c’est ici, maintenant, demain, hier, c’est chaque seconde. Se délester du passé, non pas du souvenir, mais de l’attache qui empêche d’avancer, afin d’ouvrir la porte à un renouveau. Explorer ton monde intérieur, tes perceptions, ta tristesse, ta joie, tes expressions d’amour, tes émotions, ça n’est jamais vain, et c’est une sublime aventure… c’est toujours un nouveau départ.

Meaning my life, par du minimalisme, par des transitions, des sauts quantiques, des voyages, des rencontres, c’est absolument magique, et si la vie met devant toi ce que tu pense être des obstacles, imagines toi simplement que ce sont juste, si tu étais un oiseau, des embranchements d’un labyrinthe dont toi seul est le héro, et dans lequel tu vas rencontrer de sublimes compagnons de route, certains vont bifurquer, d’autres vont partir, de nouveaux vont entrer, et au final, mis à part cela, un baluchon fera l’affaire au héro voyageur intrépide que tu es.

Allez, j te laisse, je file, suite à la prochaine aventure.

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L’ego caché dans nos Possessions

Et si, dans la plus pure harmonie de l’univers, se cachait l’Ego dans nos possessions ? Paradigme intéressant dont je me suis fait la réflexion hier suite à une discussion avec une collègue hypnothérapeute.

Vous voyez, tout ce qui nous entoure, finalement, ne nous permet pas de vivre, car pour vivre en réalité nous avons besoin de notre corps, respirer, manger, un toit, les fameux besoins fondamentaux de la pyramide de maslow.

Donc partant de cet aspect de cette pyramide qui va comme suit :

  • Besoin Physiologiques
  • Besoin de sécurité
  • Besoin d’appartenance
  • Besoin de reconnaissance
  • Besoin d’accomplissement de soi

Sa théorie nous montre les différentes étapes, et pourtant, j’ai en moi cette petite voix qui me dit que le besoin de reconnaissance est celui qui mérite aujourd’hui un peu d’attention. Car la reconnaissance, c’est ce besoin d’être vu, aimé, reconnu, et quand bien même cette pyramide le place avant le besoin d’accomplissement de soi, je crois qu’il crée un ralentissement de l’accomplissement de soi.

Je m’explique, si j’ai besoin d’être reconnu, par mes pairs, parents, amis, famille, proches, collègues, c’est que je ne m’accepte pas avec mon idée, pleinement, pour qui je suis et ce que je fais là. Ensuite, c’est un système économique et social qui entre en jeu, car avoir besoin de reconnaissance avant de s’accomplir, signifie que je dois aller chercher à l’extérieur cette reconnaissance, par des diplômes, formations, biens matériels, la peur du manque, et ça alimente un égo, ou une bulle de l’égo, avant de pouvoir m’accomplir et là… C’est particulièrement inquiétant, car ça signifie que sans reconnaissance, je n’accèderai potentiellement pas à l’accomplissement de soi qui est l’échelon au dessus.

Je pense que là, nous tenons un dogme dangereux qui a d’être revu, car il était peut-être vrai il y a des siècles de cela, mais aujourd’hui, si nous sommes qui nous sommes uniquement après être reconnus, nous ne sommes pas qui nous sommes, mais le miroir de la reconnaissance qui peut exploser à tout moment, et notre construction en même temps.

Ainsi, dans nos possessions, car il en est le sujet aujourd’hui, qu’en est il ? Eh bien, si vous faites le tour de tout ce que vous possédez, dans vos placards, armoires, tiroirs, cave, galetas, garage, locaux de stockage, etc. et que vous vous posez ces questions simples et potentiellement douloureuses :

  • En quoi cela m’apporte de la reconnaissance ?
  • En quoi est ce que j’existe, ou je nourris une version passée de moi en gardant ces objets?
  • En quoi est-ce que ces objets nourrissent une image de moi que je ne suis plus?

Vous voyez, cette réflexion m’est venue car je pars, je décide d’ouvrir une nouvelle brèche dans ma réalité, une bifurcation, un nouveau chemin, et quand j’étais dans mes cartons, à réduire encore, à trouver de la complexité à lâcher mes biens matériels, j’écrivais à une confrère qui m’a dit :

Et bien je dirais que si c’est un nouveau départ pour toi, 2 sacs feront l’affaire. Si ça n’est que ”transition ” et bien les 6 cartons seront bienvenus.

Christine Marescot

J’ai à ce moment là réalisé une nouvelle part de ce chemin vers soi, vers l’accomplissement de moi-même, afin de libérer ce besoin de reconnaissance. Et en quoi me direz vous est ce que j’avais un besoin de reconnaissance ? Eh bien j’ai un énorme sac de plongée que je trimballe avec moi, mon matériel personnel, et je pourrais me dire que c’est super de le garder, et en même temps, si je réponds honnêtement à ces 3 questions, ce matériel alimente le fait de mon égo de Master Instructor PADI, qui avais un centre de plongée, d’instructeur de plongée et plongeur DIR, et j’en passe.

Donc l’honnêteté commence en mon centre, accueillir cela fait grandir, c’est un bond, un grand saut à franchir. Car une fois la réflexion faite, il est bon de s’y plonger… et de franchir le pas de lâcher tout cela, ces possessions qui font qu’on est aimé, ou qu’un statut y est attaché, afin de pouvoir voguer librement vers qui nous sommes au fond de notre être.

Par conséquent, j’applique à cela ma méthode 1-2-3 et peux me séparer volontiers de cela, de matériel de grimpe, de camping, et d’autres biens matériels qui sont associés à des parts de moi, par l’expérience acquise, la valeur intrinsèque gisant dans la connaissance et la conscience, et qui seront toujours en moi, et pas représentées par ce matériel.

Tout ceci vient d’un magnifique chemin, du temps, de la réflexion, et si tu es intéressé par ces réflexions d’un retour à l’accomplissement de soi, il y a bon nombre d’articles ici qui peuvent te soutenir ou t’accompagner. Go for it !

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15 cartons et un retour à mon être

Avoir, posséder, s’identifier à ses possessions, ou à ses dépossessions, à son travail, ses amis, son argent, sa voiture, ses connaissances, ou quoi que ce soit d’autre, une drôle de perspective quand nous considérons que l’on naît nus, et que l’on retourne à la terre dépouillés de notre propre enveloppe corporelle. C’est de ce constat que m’est venu aujourd’hui cette réflexion de meaning my life, et comment faire un retour à mon être au travers d’environ 15 cartons.

Toi qui me lis, ça va peut-être te paraitre totalement dingue, perché, ou congruent, et quelque soit l’avis que tu porteras sur cet article, tu auras raison, il sera juste pour toi, car l’essence de ce parcours est un retour à son être, à soi, revenir “à la maison” d’une certaine manière, et chacun aura son chemin.

Pourquoi 15 cartons?

Déjà, ça, y’a des chances que ça te fasse marrer, car 15 cartons, ou 16, en gros, c’est la tare pour mon Dacia Duster qui est mon véhicule actuel. Je peux stocker l’équivalent de 15 cartons et de quelques sacs à dos dedans, et c’est tout. Après, le reste, ça nécessite du stockage, un autre véhicule et une autre logistique.

A ça on peut se dire, mais euh, pourquoi ? tu comptes déménager ? tu comptes bouger ? Et je répondrai que je ne sais pas pour sûr ou je vais aller ou bouger pour le moment. J’ai parlé de Vanlife, de digital Nomadisme au travers des diverses activités que j’ai pu pratiquer durant ma vie, ou de voyage. Je ressens le besoin de la mer, de la simplicité, du voyage, du nomadisme au fond de mon être depuis des années, et là, c’est une forme de retour à mon être.

L’objectif est donc de réfléchir à chaque objet de mon appartement, de ma maison. Sa raison d’être auprès de moi, avec la gratitude d’avoir eu la chance de posséder comme de ne rien posséder, car ce n’est fondamentalement pas important.

De 220 m2, à 140m2, à 70m2 à je ne sais pas… en gros 15 cartons

J’ai souvent voyagé, parcouru quelques pays, vécu en Espagne, en France, en Suisse, et bougé au gré des métiers, rencontres, de la famille, des enfants, des projets, de mes envies et de ce que la vie m’a mené à découvrir. J’ai également parfois oublié mes propres envies, choisissant certains endroits pour ne pas “aller trop loin” ou “par respect familial”, et tous ces choix étaient ce qu’ils étaient, je n’ai aucun regret et apprécie chaque chose qu’ils m’ont appris.

Force de déménagements, de choses accumulées, de besoin d’avoir par envie, et par peur du manque, j’ai entassé, multiplié, eu des beaux objets et des plus simples, a pléthore comme bien des gens dans notre société occidentale dont les moyens le permettent.

Depuis quelques années, comme vous l’avez suivi, j’ai passé en mode de réduction, de minimalisme, non pas seulement le matériel, mais aussi l’émotionnel, spirituel, social, professionnel, afin de me reconnecter à la simplicité de “tout passe, même ça” et à un retour à mon être, à ce “meaning my life” afin d’y poser le sens qui me semble juste pour moi (et qui pourrait être totalement différent pour chacun de nous, avec un grand respect pour cela).

Réduisant, donnant aux oeuvres de charité, à des gens qui en ont besoin, jetant ce qui était abimé, je réalise maintenant que bien des placards, tiroirs, armoires, sont vides chez moi, et ça peut sembler étrange, mais bien entendu, je ne manque de rien, et ne me dis pas “purée si j’avais ça” matériellement (hormis le van peut-être, mais là, ça deviendrait un logement, ma maison, mon bureau).

Facile ou difficile ?

Sincèrement, là, je fais une séparation entre mes 15 cartons et ce que j’ai dans ma maison. Est ce que j’aurai plus que 15 cartons chez moi actuellement ? Oui, clairement.

Est ce que j’aurai besoin de ce surplus ? Potentiellement. Mais je réalise que ce que je vais laisser ici, peut se trouver ou je vais. Je parle de meubles, d’une lampe, d’une chaise, d’une table à manger etc. Symboles d’une vie, d’une relation, d’un lieu, d’un métier, sont ils tant nécessaires qu’ils doivent parcourir des kilomètres pour me suivre ? Clairement NON.

Il est donc un peu complexe de voir les 15 cartons actuellement, mais je sens que ce que je garde fais sens pour moi. Par exemple, au niveau mix du pro/perso, Je n’ai pas plongé depuis longtemps, mais ressens encore le fait que mon matériel personnel soit encore à mes côtés, le jour J, il pourra être vendu ou transmis. Mon matériel photo va servir encore quelques projets personnels, et le matériel professionnel pour les soins également à ce jour.

Je garde selon mes envies, je liquide les doublons, et sais qu’une planche à repasser, et autres objets du quotidien ici seront aisément soit trouvable en 2ème main, soit superflus.

Je poursuis donc ce processus de réduction, réutilisation, transmission, don, voir de vendre si ça dépasse 100CHF (sinon, mon temps et ma légèreté d’être passe devant)

Se déposséder pour se reposséder

Par ce chemin de dépossession, je retrouve la simplicité. le plaisir d’emprunter un livre sans le posséder, de recréer des liens, de profiter de la simplicité d’un sourire, d’un moment sur une terrasse, de pieds dans l’eau, d’amitiés, de complicité avec des échanges avec des amis ou la famille et principalement avec les enfants.

En faisant cela, je ne peux plus m’identifier à mes biens, à mon compte en banque, à mon job, car j’ai tellement exploré diverses facettes de l’être au travers les métiers d’informaticien, de graphiste, de moniteur de plongée, de prof de fitness, de photographe, et là dans les soins avec l’hypnose et les soins énergétiques que rien ne me définis.

Complexité des employeurs qui ne savent pas ou mettre les gens qui ne rentrent pas dans une case, et pourtant, essentiel chemin qu’est celui que je vois se tracer, sans savoir où il va me mener, ni quand, ni comment, mais que je sais nécessaire et si essentiel pour moi, et par ce biais pour d’autres. En faisant le vide, je me réalise, je m’explore, et je me permet de libérer mon agenda afin de pouvoir profiter de la simplicité du regard sur le monde.

Et tes meubles alors ?

Comme je le disais, je ne vais pas transporter des meubles d’un coté à l’autre du monde, que ce soit dans un van ou en nomadisme, et il est clair que, les petits éléments qui me seront très personnels me suivront. Cela peut-être sous forme de cadres, de photos, d’une ou deux lampes, de bibelots, etc. Et le reste n’a pas grande importance, quand bien même j’ai vraiment énormément de gratitude et aime mon logement actuel. En prenant le minimum, j’ai 4 chaises, donc 4 couverts, en mode BYOP, comme j’ai eu l’impression de faire, et pourtant… j’ai réalisé avec une année dans ce logement, que j’avais beaucoup quand même.

Et ce retour à l’être ?

Je réalise que dans ce chemin de retour à l’être, à ce que mon âme souhaite d’une certaine manière, c’est de réaliser que les possessions sont cruciales quand elles servent un bien commun. Cela peut-être pour apporter de la joie autour de nous, ou pour nous réaliser.

Se réaliser, c’est en d’autres mots, se mettre au service du monde, de l’humanité, non pas que par nos projets, par notre métier, mais par notre être, notre présence, notre allégement à une possession, afin de juste permettre à ceux qui seront sensibles à cela, de savoir que eux aussi, ils peuvent, qu’ils ne sont pas seuls.

L’exploration débutée il y a des années porte sur le fait que rien, rien ne me dématérialise, et en cela, tout un nouvel univers s’ouvre à mon champ des possibles.

Je peux être nu en pleine nature, sans avoir à boire, à manger, sans toit, sans possessions, sans métier, sans argent, que j’existe, je suis. Rien ne me définis, hormis le fait d’être, ici et maintenant, ou je suis et comme je suis, et en cela, j’apporte au monde un aspect, une facette, sans chercher à l’apporter, car tout simplement… Je suis.

Et la suite alors ?

La suite sera peut-être en van, peut-être nomade, je n’en sais rien, mais aujourd’hui j’explore cette dématérialisation des possessions afin d’explorer d’autres aspects de mon être, et de partager une vision de partage, d’humanité, de complicité, d’échange, de soins, de bien-être.

Libéré d’un dogme, d’une vision actuelle de la société, je ne suis pas attaché, donc par cela, je peux être libre d’une forme pensée… quand bien même parfois c’est compliqué, bien entendu, car cela va par vagues, de hauts, de bas, mais je poursuis avec joie cette exploration, menant à ce petit mais costaud … Meaning my life.

Diverger pour mieux être guidé

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Diverger pour mieux être guidé

Tu t’es peut-etre demandé quelques fois dans ta vie si ta voie était toute tracée, si ton chemin était celui que tu prenais, et si tu étais aligné avec tes choix. Pléthore d’informations, d’in-formations, moyen de te connecter aux informations que tu as en toi. Qu’en est il de passer du coq à l’âne dans ce cas ? Est ce que diverger pour mieux être guidé n’est pas parfois le chemin ?

Certains d’entre vous me connaissez personnellement, au travers de mes divers métiers, et je ne comprenais pas ce besoin intrinsèque de me réinventer régulièrement. Certains y voient de la résilience, et j’y vois une manière d’adapter mon chemin, de découvrir de nouveaux outils, et d’offrir ma vie au service de la planète tout en respectant mon essence.

si tant est qu’il puisse exister un chemin tracé, ou une voie à prendre, parfois il est important de se reconnecter à son être. Se libérer du mental qui réfléchit trop, qui nous déconnecte du savoir, de l’essence même de notre pouvoir créateur.

Meaning my life, comme vous le savez est lié non seulement au minimalisme matériel, mais à cette reconnexion à l’authenticité qui fait que l’on est qui l’on est à un instant T. Certains pourraient questionner ces multiples activités, ces divergences, et y voir un illogisme, et bien entendu c’est un point de vue. Ceci serait sans compter la perfection de l’univers qui nous entoure, et l’infime part qui est notre vie dans cet espace temps.

Il est parfois essentiel d’effacer l’ardoise, comme un enseignant effacerai le tableau noir pour y mettre de nouvelles informations. As t’il en ce sens effacé le savoir ? l’a t’il fait disparaitre à jamais ? Non, il l’a partagé, transmis, et il l’a en lui. Il en a effacé une trace écrite, afin de pouvoir transmettre de nouvelles informations, et comme la salle est utilisée par un autre enseignant après, une nouvelle source de savoir différente vient sur ce même tableau noir.

L’abondance se trouve en nous et tout autour de nous, et la co-création fait part du processus, tout comme cette divergence. Une abeille va butiner diverses fleurs pour participer à la ruche, et diverses abeilles ont divers rôles, et en ce sens, nous pouvons également butiner, créer, co-créer avec d’autres, et voir un changement et une transformation sur notre processus actuel.

La pression est grande de penser que l’on est essentiel, ou inutile, et toute la panoplie d’entre-deux qui fait que l’on est le héro ou le vilain de notre propre histoire. Jusqu’au jour ou l’on réalise qu’il n’y a rien à faire, ni nul part ou aller pour se réaliser, pour être soi, et pour avancer vers ce “meaning my life”. Car nous sommes déjà la raison de notre présence, sans autre artifice.

Et là, tu dois te dire, il craque… il parle de divergence, d’ajout de compétences, de revirement de chemins pour trouver sa voir, de questionnements, et après il dit qu’il n’y a rien à faire ni nul part ou aller ? C’est quoi ce bordel ?

Eh bien c’est simple, et complexe à la fois, si tant est que simple et complexe soient même quelque chose qui existe réellement. Fais ce que tu ressens, laisse toi porter, sens que tu dois aller quelque part, avec la boule au ventre peut-être, mais si tu y es attiré, il se peut que ça soit une voie royale vers une exploration personnelle. Tu sens que tu as envie d’aller quelque part ? suivre une formation ? écrire à quelqu’un ? Oser envoyer un article à une connaissance virtuelle ?

Tu as le choix de suivre ton instinct ou ta tête, et comme tu n’es pas ta tête, ni ton corps, il se peut que tu te trouves un peu dans des montagnes russes, car c’est l’exploration qui t’était nécessaire pour avancer… et là, en cela, tu peux y trouver ton plaisir, ton adrénaline, cette explosion d’énergie vitale dans tes poumons, ce souffle de vie et de création.

Il t’appartient de te laisser guider, d’oser diverger, de faire les trucs les plus fous, que personne ne comprend, et que toi-même ne comprends pas, afin de t’abandonner à ce qui est sur ta route, ce plan parfait, avec toutes ses imperfections, qui vont faire que ta vie sera une expérience unique, délicieusement fascinante.

Je te partage cela car je suis dans cette divergence, tu t’en doutes peut-être, et je sais que j’intègre des choses et laisse derrière d’autres, car il est temps, elles ont eu leur utilité et seront toujours au service de mon être.

Tant le webdesign, la programmation, le graphisme, la photographie, instructeur de plongée, de fitness, formateur dans tous les domaines ci-dessus, et praticien en hypnose et énergéticien nomade, les amitiés, celles de longue date, d’enfance, en suisse, et celles de voyages en asie, au mexique, en europe, les baléares, les canaries et fuerteventura, maroc, indonésie, et j’en passe. Tant de formes, de liens, de connexions, de gens rencontrés, de magie des instants, tous sont là, servent à la beauté de l’instant.

A toi, qui n’ose pas te laisser porter, j’ai envie de dire, il n’y a qu’un pas, un tout petit pas, le même que tu prendrais avant de monter sur un manège, dans un avion, sauter du plongeoir, ce tout petit pas, vers ce retour à toi, sans artifices, afin de n’être toi, car tu nais toi !

Allez, Salut, et bonne divergence, déviation, pour ta connexion parfaite à toi-même.

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La peur du manque et le minimalisme

Quoi ? T’es speed ? T’es stressé ? T’es dans tes peurs ? Non, mais sincèrement, t’es sérieux là ? C’est laquelle maintenant ? Ah la peur du manque… bref, tu l’as probablement pas encore identifiée, mais elle se cache derrière bien des choses de notre vie.

Tu savais qu’une des grandes peurs des gens était de finir malades et sans rien, genre sous un pont, seuls à agoniser? Bref, c’est peut-être fondamentalement la peur qui nous incarne le plus souvent, pas toujours sous cette image là, mais de diverses manières.

Un des aspects de minimalife est “meaning my life” et cela veut dire donner un sens à sa vie. Et parfois, c’est le doute, le questionnement. Savoir lâcher ce que l’on a pour ce que l’on pourrait découvrir sur le chemin du futur, et là… vient se déposer sympathiquement et délicatement, la peur du manque.

Tu en as probablement déjà entendu parler de celle là, et souvent elle prend deux formes, soit la radinerie, soit la générosité. Tu t’y attendais pas hein à la générosité ou à la radinerie comme deux faces de la même pièce. Et pourtant, les hyper-généreux sont flippés du manque, ou qu’on puisse penser qu’ils ont peur du manque, alors ils y vont dans tous les sens.

Une des complexités dans l’identification de la peur du manque avec le minimalisme, c’est professionnellement, ou dans le couple également. Bosser comme un acharné, amour du job ou peur du manque ? Sortir régulièrement et payer des verres partout ? Amour de l’autre, ou envie d’être aimé et peur du manque ? Je vous donne quelques exemples mais il y en a pléthore, ça fait juste réfléchir au schmilblick un petit peu.

Ici je suis en transition de vie, en train de questionner sur le nomadisme en Van ou en appartement ici et là en ayant le van également. Prodiguer des soins nomades, ça c’est ok, c’est établi, mais la manière n’est pas encore mise en place totalement.

Pourquoi je vous parle de ça ? Parce que faire ce chemin de Guérisseur Nomade, et Digital Nomade en tant que photographe signifie qu’il est temps pour moi de libérer mon appartement actuel, de vider tous mes biens, et de faire le choix de ce qui compte, ne va pas finir dans un stockage annuel ou dans une cave. Et là, eh bien je peux vous dire que ça semble simple, et pourtant, c’est un aspect qui ne l’est pas.

J’ai vidé des placards, des meubles, je liquide, je donne, je vends (meme si sincèrement, l’emmerdement de vendre a 10 CHF pour le temps passé ne m’amuse plus, je préfère donner à qui en as besoin), et pourtant j’ai encore l’impression d’avoir des tonnes de choses qui ne me servent plus, alors que, je dirai que pour la majorité des gens voyant mes placards vides, ils ne comprendraient pas.

C’est là qu’on voit que les choses nous possèdent. Oui ce ne sont que des meubles, des choses, et pourtant ils sont le lien avec des histoires, des gens, des soirées, des autres parties de qui nous sommes, nos anciens métiers, notre “ancienne vie”, et en cela, vient la complexité. Comme si cette peur du vide, peur du manque, était intégrée à l’humain que nous sommes depuis sa sédentarité il y a des centaines d’années.

Faire un grand saut de ce type, requiert une confiance totale en l’univers, et en notre légitimité, ainsi qu’un accueil du fait que tout est là, et que tout est fluctuant, n’existe que le temps d’un instant ou d’un autre, et pourtant, nous apporte la joie de l’avoir, quand nous l’avons. Pour l’avoir fait à diverses reprises, c’est un challenge intéressant, tout quitter, tout vider, tout vendre, repartir de rien, à multiples reprises, et finalement… être toujours là, avoir des biens qui soutiennent ce que je fais dans ma vie, et profiter pleinement des gens que j’aime, car finalement, n’y a t’il pas que cela qui compte?

Le but de cette manière de vivre sur les termes de “meaning my life” est d’adapter sa vie, ses biens, son environnement, son travail, ses relations, avec amis, famille et proches sans peur du manque, et dans la plus pure expression de son être. Partir, voguer vers d’autres horizons ? oui, mais je ne connais personne, pas de repères, pas d’amis, de choses “connues”… peur du manque ? Intéressant constat, questionnement ouvert, depuis lequel je suis en train d’extraire l’essence de moi-même, tout en me sachant connecté à toutes, tous et toute chose de cet univers.

Et vous, Ou en êtes vous de ces aspects de peur du manque dans votre vie et dans vos projets ou réalisations ? Qu’attendez vous ?

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Gestion administrative Digitale en 2020

Aujourd’hui, j’ai envie de te parler d’une manière de la gestion administrative digitale, c’est à dire comment gérer les papiers, et la documentation en 2020 et après, sans avoir à garder tous les documents papier.

En effet, tu penses bien, comme tout le monde, on est saturé de papier, de factures, fiches de paie, et j’en passe. Certaines sont maintenant en PDF, et d’autres pas, celles que tu reçois en papier, les reçus d’achats, les factures et garanties, et j’en passe. Tout ce papier, ces arbres, ces transformations au chlore… Bon ok, t’as besoin d’imprimer pour les impôts chaque année, mais si tu peux te passer d’en stocker, voir même de recevoir la version papier, c’est quand même vachement bien hein ?

Je t’en parlais dans l’article sur le minimalisme digital, j’ai décidé d’avancer clairement vers un monde avec de moins en moins de choses, de paperasse, de documents, et j’en passe. Donc ça passe par trier son bureau, prendre la décision de ce que l’on garde ou pas, et de faire sincèrement une croix sur ce qui ne nous sert pas et ne nous est pas utile. C’est intriguant, c’est surprenant, et parfois ça libère carrément.

Mais qu’en est-il de l’administratif ? Car tu le sais, on est tenus de garder des documents des années, et certains quasiment toute une vie, vise le bordel. Donc à part si le navire coule et que t’as plus accès à tout ça, va falloir pouvoir le ressortir ici ou là… si vraiment t’en as besoin.

En 2020, j’ai pris une décision, j’en ai marre de chercher mes documents partout. Il faut que tu saches que l’administratif et moi, jusqu’en 2020 (genre là oui !) c’était pas mon fort, et c’est encore en chemin, clairement. Je suis loin de pouvoir donner des leçons aux rois des To-Do Lists, je suis un hypersensible, créatif, et dans ma tête, administratif a toujours résonné avec une peur et une angoisse de saturation mentale. Chose que je suis en train d’activer en mode méga-changement en 2020 avec l’hypnose et les soins énergétiques, pour passer des caps de progression sur moi.

Si je veux pouvoir vivre en simplifiant ma vie, pour retrouver juste l’essence de ce qui est bon pour moi, ce n’est pas pour me remuer l’esprit avec ces documents que je ne trouve pas, que je n’arrive plus à classer, ou à gérer.

Alors, comment faire, avec ces papiers. Eh bien tout d’abord, il faut savoir que les papiers ont valeur légale quand ils sont Scannés, donc tu peux parfaitement faire une photo, ou utiliser ton scanner pour garder les documents dont tu as besoin.

Sur Android ou iPhone, il existe plein d’applications – Genius Genius Scan (iOS & Android), Office Lens (iOS & Android) ou encore CamScanner (iOS & Android) – qui qui permettent de les enregistrer directement dans un cloud, et tu peux même gérer le format JPG ou PDF.

Ces applications te permettent de stocker sur le cloud ou sur ton ordinateur ou téléphone. Tu peux donc les renommer, les recadrer, et améliorer la lisibilité tout en ayant une app gratuite dans les mains.

Personnellement, j’ai décidé d’appliquer la même règle que d’habitude, et je pense toujours en 1, 2,3. Je te laisse découvrir si tu ne connais pas encore.

Pour mon classement administratif, j’ai déjà fait un bon dossier sur Google Drive selon la structure suivante :

  • 2020
    • Janvier
    • Fevrier
    • Mars
    • Avril
    • etc.

Dedans, Personnellement, en tant qu’indépendant, j’ai besoin de séparer deux choses en 2020, les aspects privés et professionnels. Comme tu le constateras, je n’ai pas de rentrées en privé… si je vends un truc, je le met simplement dans le mois en question.

  • 2020
    • Bail
    • Garanties
    • Professionnel
      • Fiches Salaire
      • Charges
        • Janvier
        • Fevrier
        • Mars
      • Rentrées
        • Janvier
        • Fevrier
        • Mars
    • Privé
      • Garanties
      • Janvier
      • Fevrier
      • Mars

Voilà. avec cette structure c’est déjà plus simple de m’en sortir et de me retrouver facilement dans mes documents. Maintenant on peut rajouter une catégorie chaque mois, si ton job est basé sur des projets, tu peux avoir des charges par projet, ou mensuelles, ou “mensuelles et par projet”, donc à toi d’adapter cette structure à ce qui te correspond bien.

Une fois ta structure faite, c’est parti, à ton Scanner. Tu vas passer un peu de temps au départ à scanner tes documents, donc soit t’as accès à un scanner, si possible avec “feeder” et pas à plat, ou tu trouves qq’un qui au boulot en as un et tu peux te lancer dans une ScanParty rapide pour faire ingérer la XEROX de 1000 feuilles et te sortir tous les PDF, si possible en recto Verso (ce que bcp de petites imprimantes ne font pas.

Donc… la gestion administrative, clairement, C’EST CHIANT OUI ! au départ, mais une fois que t’es engagé dans la démarche, et que tu sais que ton bureau consiste en juste ce dont tu as besoin, et que tu peux te libérer de toute cette paperasse, en sachant que si on te la demande, tu peux envoyer DIRECTEMENT le PDF à la personne, alors là… t’as pigé que c’est jackpot sur ton temps. T’as plus à aller dans le classeur, te souvenir de dans quelle catégorie t’as foutu ça, ou c’était, comment, ressortir le truc, ah merde le scanner marche plus. et j’en passe.

En plus de ton tri de papiers, je te recommande fortement d’utiliser un Google Sheets pour te faire un tableau de tes dépenses par catégories, tu sais celles des impôts. Donc tu peux avoir une comptabilité à deux colonnes pour savoir ce qui entre et sort chaque mois, et tu peux également doubler ces informations pour les avoir par catégorie, comme ça tu sais ce qui est véhicule, assurances, bureau, formations, lié à tes projets et j’en passe. A la fin de l’année… Comme t’as fait ça 1 fois par semaine voir 1x par mois, tu n’as qu’à recueillir le montant, le mettre dans les cases, et tes impôts 2020 seront archi-classés en moins de 2 heures chrono, même si t’es indépendant, avec plusieurs activités et que t’es également salarié en plus de tout ça.

Mais ça, on en cause en janvier 2021 quand on aura tous mis notre gestion administrative en pratique et qu’on sera tellement heureux d’aller se bouffer une fondue ou des fruits de mer qq part au bout du monde dans notre Van Minimalife à découvrir ceux qui ont tout compris !

Donc si toi aussi, tu as besoin d’un coup de pouce, saches que tu n’es pas seul, et que t’es pas unique à ne pas trouver jouissif de faire de l’administratif. Ce que je peux te dire par expérience, c’est que te dire que c’est chiant et déplaisant, ça va le rendre encore plus chiant et déplaisant… et ça va te mettre dans une méga merde, car tu vas laisser venir les rappels, voir les poursuites arriver, et j’en passe, pour te retrouver dans une méga merde noire.

Tes factures à tes clients, tu les envoie DIRECTEMENT avec le job, ou mieux, pay it forward. ils paient avant la séance, t’as pas à y penser, c’est fait, fini, terminé ! J’ai été le roi de ça, 1 année sans facturer, et me mettre dans une merde noire, donc je te le dis, conseil d’ami, fais simple, fais vite, fais bien !

Par contre, fais bien gaffe. Quand on parle de gestion administrative, on cause sécurité. Ne stocke pas ça sur un disque dur à la maison ou que sur ton ordinateur, car si on te le vole, ou que t’as un incendie, tu paumes tout et t’as plus rien. C’est pour ça que les CLOUD existent. Stockes ça ou tu veux, genre dropbox, google drive, ou autre, y’en a plein, certains cryptés, d’autres pas, à toi de gérer, et si tu fais des copies de clouds sur un autre cloud super… tu peux doubler ou tripler, mais en tout cas… ne pas tout mettre seulement à la maison, tu risquerais d’être bien emmerdé.

Donc si au bout d’un moment, que t’as ton stylo pour signer tes documents, et que tu as réussi à te débarrasser de ta paperasse, tu te sentiras libre sincèrement. Un pur bonheur de pouvoir te dire que ton esprit est clair et limpide, car tu sauras ou tu en es dans tes désirs et tes besoins.

Tu peux poursuivre la découverte de ce blog, et je te recommande de passer par diverses sections, car tout est séparé en deux aspects, l’aspect personnel qui est un retour à soi et à ses valeurs, et un autre qui est l’aspect minimaliste sur l’aspect matériel des choses. Car tu n’as sincèrement besoin de pas grand chose, voir de rien pour vivre pleinement et heureux, mais ça, les publicitaires, les films et la télé vont tout faire pour te dire le contraire.

Au final, la gestion administrative, tout est question de ressenti, et de comment tu veux vivre ta vie. Veux tu être contrôlé(e) par ton admin, la paperasse, les tas et classeurs de partout, ou veux tu simplement te faciliter la vie et retrouver une fois par an, rapidement, ce que tu as dépensé et utilisé ?

MEANING MY LIFE

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Redéfinir la gratitude

T’es grincheux, tout le monde te fais chier, ou des situations te prennent la tête, t’en as marre de ce que font tes amis, ta famille, ton patron, ou autre. Ca peut-être souvent, ou un petit peu, ou parfois sur certaines situations, et sincèrement, parfois t’en prends conscience, parfois pas.

Déjà, la première chose pour se retrouver un peu aligné, c’est de réaliser et de reconnaître que vous êtes parfois grincheux, et que des situations sont hors de votre contrôle. Alors c’est clair, si on veut tout contrôler, ça devient hyper compliqué de vivre pleinement aligné et de manière relaxée.

Donc quel est l’objectif de tout ça ? Pour vivre mieux, et pour se sentir plus libre de toute situation, il est bon d’entrer dans un mode d’acceptation et d’amour. Car oui, tout est amour, et tout est juste pour vous au moment ou cela arrive. Parfois c’est une leçon à apprendre, un changement à adopter, une prise de position. Si quelqu’un vous dérange, ou déclenche une réaction chez vous, c’est votre côté obscur qui ressort, c’est une forme de dissociation de votre propre amour de vous.

La gratitude est une posture que chacun décide de prendre, et aujourd’hui, je décide de travailler plus sur cette observation de la posture que j’adopte. Suis-je en conflit, ou suis-je dans la gratitude de la situation, qui a un objectif unique… me faire comprendre que je suis en séparation avec la vie, et que j’ai à adopter une approche différente, une qui me fait me sentir plus ouvert, plus libre, plus grand que je ne suis.

Toute situation peut-être vue par le prisme de la peur ou de l’amour, et le prisme de la peur est celui de l’égo, le prisme de l’amour est celui de la gratitude. Certains d’entre vous me direz que c’est peut-être débile, car si on est malade, ou on a quelqu’un d’handicapé à la maison, on n’est pas dans le bonheur, c’est triste, difficile, complexe. Et là, je n’ai que l’acceptation en tête. Pouvez vous changer cette situation ? Avez vous le contrôle dessus ? En quoi pouvez vous voir du bon en cela, car vous n’avez pas de contrôle sur le fait que cela arrive ? Et si cette situation était là pour vous apporter un changement profond, et une sincère appréciation de ce que la vie vous enseigne et vous apporte ?

Quand une situation arrive dans notre vie, elle nous apporte forcément quelque chose. Est-ce un reflet de nous, de notre personnalité, de notre perception, de nos valeurs ? Ou est-ce pour nous préparer à ce qui va nous arriver ensuite, car plus on va dans notre obscurité, plus on sait apprécier la vie et sa lumière.

Une profonde introspection est nécessaire, et ce n’est pas facile. Il est temps de nous observer, d’observer nos interactions, nos discussions, nos actions, agissements, mais surtout, de en pas nous blâmer. Si je me blâme, je suis dans le jugement, et pourquoi être dans le jugement d’une situation passée sur laquelle je n’ai plus aucun contrôle, car elle est passée.

Observer, c’est être dans le moment présent, ressentir, percevoir quand on est dans le jugement, ou dans la gratitude, et y voir la peur ou l’amour. Si je me prends la tête avec ma compagne, suis-je dans l’amour, soit de moi, soit d’elle ? Est-ce que je tente d’avoir raison, ou simplement de percevoir que j’ai une chose à développer, pour me sentir plus léger face à cette situation, cette attitude ? Suis-je le reflet de ce qui se passe ? Est ce que je reproche un aspect que j’ai moi-même sur d’autres situations? En quoi ai-je besoin de me reconnecter à moi ?

Vivre dans la gratitude, c’est un état d’esprit, c’est savoir que le matérialisme n’est pas là pour combler le vide d’amour de moi. C’est accepter que m’aimer profondément va me libérer progressivement de tout besoin matériel. Attention, ça ne veut pas dire que je n’aurai pas de désirs, mais je ne serai pas dans un attachement au besoin.

J’apprends à vivre avec gratitude, et à remercier des belles situations, autant que des situations qu’on pourrait considérer comme merdiques, car elles sont là pour me guider vers une version de moi-même que j’apprécie plus, plus légère, plus sincère, plus authentique.

Si toi aussi tu veux être dans la gratitude, voici un petit exercice, et il se base toujours sur le même concept, tu sais, celui du minimalife, hein, meaning my life… oui, toujours les 3 aspects, car on peut les mettre en place sur quasiment tout, pour ne pas dire tout dans notre vie.

  • C’est utile et je l’utilise
  • C’est inutile, je ne m’en sers plus
  • C’est inutile, mais je n’arrive pas encore à m’en séparer

Comme tu le vois, avec ces 3 aspects, tu peux tout mettre en place, car si l’on imagine une situation de vie, et nos réactions. Si elles sont dans notre vie, c’est qu’elles ont eu une utilité auparavant, sinon elles n’auraient pas fini dans nos vies. Mais maintenant… sont elles utiles, inutiles, ou simplement on observe qu’elles sont inutiles mais on n’arrive pas encore à s’en séparer. L’objectif au final est de mettre cette 3ème catégorie dans une des deux autres, soit on la transforme en utile, soit on s’en débarrasse car elle est inutile.

C’est exactement comme si tu t’occupe de ton placard, ou de minimaliser ton bureau, tout fonctionne sur le même concept des 3 choix.

Tant que c’est matériel, tu peux le faire, tu peux poursuivre par tes câbles à trier, ou tu peux te libérer de tes livres, et encore de tout ce que tu as dans ta cave qui traîne depuis des lustres.

mais s’atteler à notre alignement, et notre mode de vie, ainsi qu’à nos émotions bien planquées derrière nos achats et nos besoins d’exister, ça peut sembler tellement plus compliqué, alors que finalement c’est d’une certaine manière très simple. Tout est question d’acceptation, et de mettre en place notre vie selon un concept de contraction du temps.

Une fois que tu t’es bien observé, et que tu es totalement honnête avec toi-même, tu sais, ce truc qui pique bien, qui fait mal, qui montre que t’es vulnérable, et que t’assume que cet aspect là, de toi, il te pose un problème, eh bien là, tu peux aller t’y atteler. Soit en méditation, soit en hypnose, tu peux passer par cette matérialisation du changement. Ton subconscient ou inconscient sait mieux que toi ce que tu es capable de faire, et tu décide de reprogrammer, donc de garder, trier, te débarrasser de tes vieux schémas.

Une fois que tu entres dans cette spirale, spirale positive, tu réalises que tu peux changer, et à chaque petit changement, tu es dans la gratitude de ce que tu observes, et tu poursuis ton tri, tes trois concepts, pour te sentir de plus en plus aligné, entier, centré.

Alors, t’as pigé ? T’es prêt à te faire du bien et à lâcher ce qui ne te sert plus ? les 1, 2, 3 du meaning my life, pour te retrouver en ton centre ? C’est parti… 1, 2, 3 ! A toi… t’es capable, tu es incroyablement merveilleux, et perso je crois en toi, alors fonce !

MEANING MY LIFE

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Ta cave n’existe plus

Tu sais, cette petite ou grande cave, celle qui est en bas de ton immeuble, ou de ton galetas, ou ce garage que t’as, ou une cabane de jardin. Aujourd’hui, je te propose de lâcher prise de tout ça, et de t’imaginer, t’imaginer qu’elle n’existe plus, et que tu n’y as plus accès dans 1 semaine.

Chaque espace de stockage doit correspondre à cet aspect de ce questionnement à mon sens, tant spirituellement que matériellement. Je te rappelle le concept, tu le sais déjà certainement si t’as bien lu, et je sais que tu as bien lu, car tu le fais pour toi… et que tu te le permets, car c’est bon pour toi.

  • C’est utile, je l’utilise
  • C’est utile je ne l’utilise pas (donc je m’en débarasse)
  • C’est inutile, je ne l’utilise pas (donc je m’en débarasse)
  • C’est utile, je ne l’utilise pas… MAIS je ne suis pas prêt à m’en débarrasser maintenant

Donc ta cave, ton garage ou autre… Je te propose de tout sortir, ou de te donner un temps d’une semaine (car si on ne donne pas de temps, on ne s’en sépare pas), pour faire ton tri, donner à des oeuvres, vendre sur des sites de seconde main, marketplace sur facebook, filer à des amis et j’en passe… En gros tu vires, tu vires, tu vires !

Ta cave, tu sais, c’est l’endroit ou tout se planque, en gros, imagine que c’est un carton, ou des boîtes, ou des placards, parce que finalement c’est pareil. La fameuse phrase … On va mettre ça à la cave, ça peut toujours servir.

Alors si t’as osé te lancer dans le tri de ton bureau, t’es bien parti.

Je ne sais pas toi, mais si t’as déjà un certain age, tu as peut-être du participer à des déménagements de potes, ou à vider un appartement suite à un décès dans la famille. Et là, tu te retrouves à trier des trucs de partout, cave, grenier, garage, et l’appartement ou la maison complète, et limite tu commence à sentir la tension, et le poids de devoir gérer tout cela. Maintenant, as tu envie de cela pour toi ? D’être cet écureuil qui stocke des noisettes dans 80 arbres “au cas ou”, sauf que c’est pas pour survivre, c’est parce que tu sais pas où ranger ce putain de caquelon, ou ces 5 vélos trop petits des enfants, et j’en passe.

Donc tu as le choix, en fait c’est simple, tu as deux choix, faire ou ne pas faire, et après c’est à toi de te sortir les pouces du cul pour t’y mettre, mais ça, y’a que toi qui peut le faire. Si tu n’y arrives pas, l’hypnose aide, parce que c’est une programmation qui a été ancrée, par ce que tu as vécu… genre tes parents n’avaient pas trop de sous, t’as du serrer la vis, peur du manque… ou j’en passe, mais y’a des trucs qui péclotent.

Alors c’est parti, t’es prêt ? Chaque carton, chaque tiroir, chaque armoire de ta cave, tu la vide, et t’es bien parti pour te sentir plus léger, parce que quand c’est dans la cave, c’est souvent un cache-misère, et tu vaut bien mieux que tout ça, et tu le sais.

Perso j’en suis à garder juste l’administratif à la cave, et j’ai mon matériel de sport que j’utilise selon les saisons. Le reste, je suis en train de vendre, virer, dégager, parce que ça ne me sert pas, et je n’en veux pas. J’ai eu la chance, mais tellement de chance, d’avoir tout cela, d’en profiter pleinement, et maintenant il est temps de passer à autre chose, et mettre en place la vie que je souhaite, sans tout l’aspect “non utile” de ce que j’ai stocké.

La finalité d’une vie n’est pas d’être utile, c’est plus une quête de sens, et le sens pour moi n’est pas le même pour toi, et ça c’est crucial. Trouves ce qui fait sens pour toi, mais questionnes toi sur le fait de pourquoi tu as l’objet. Est-ce pour “te montrer aux autres car tu as quelque chose de cher”, ou est-ce que ça te procure réellement un bonheur, et une sensation de plénitude ?

Alors, c’est parti, de mon côté, j’avance, j’ose me dire “le au cas ou, j’en veux plus”. Et si je dois mettre 10 cartons d’admin à la déchetterie… quelle est la probabilité qu’on me les demande ? Et si j’ai déménagé.. ça peut se perdre, se dégrader, donc on peut demander aux organismes de nous transmettre genre les déclarations d’impôts, les rapports de jugements et les actes officiels, ça coute quelques francs parfois, mais si je dois mettre 200chf un jour sur des documents au lieu de stocker (et devoir retrouver parmi tout ça, 4 feuilles dans 10 a 15 cartons d’admin), mon aspect du trésor du temps est primordial, et passe avant.

Allez, hop, au boulot… enfin au plaisir de te sentir libre et mieux dans ta vie !

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Redéfinir ses valeurs

Qu’est ce que je fous là, franchement, non mais franchement ! Va comprendre, qu’est ce que je fous là. C’est vrai quoi, en gros, je me cherche, comme quasi tous ceux qui arrivent à 35 ans ou plus, parce qu’on est basés sur des cycles, je t’en cause après. Et là, C’est le total “mind Fuck”, y’a tout qui va, et y’a rien qui va, parce que je suis pas clair avec moi-même, et je dois redéfinir mes valeurs.

Je suis certain que t’y es, t’as ptet 20 ans, 30 ans, 40 ans, 50 ans voir t’es quasi à la retraite, et là, c’est le monstre bordel dans tes idées, et tu te questionnes, oui oui, c’est ça, t’as tout compris, enfin non t’as rien pigé, mais t’as tout pigé en même temps. C’est ça “meaning my life”, trouver le sens, car si l’on veut tout envoyer peter, c’est pas la meilleure solution, enfin pas tout en même temps.

T’imagines ? Ouai carrément, fuck le job, le couple, les enfants, les amis, les activités, la maison, la bagnole, fuck tout ça, j’m’en bat comme de la dernière chaussette en poil de Yack pour pas dire mon testicule gauche. Si tu fais ça tout en même temps, t’es parti pour créer un tel merdier dans ton esprit que ça va être chaud bouillant. Je dis pas que c’est pas possible de retrouver des valeurs là, mais honnêtement, tu risques d’en chier quelques pendules.

Donc oui, c’est quoi les valeurs. En gros, tu nais, tu grandis, tu découvres les codes que tes parents instaurent pour toi, tu souris, tu fais bien ce qu’ils aiment, sinon gare à l’engueulade. Limite tes études dépendent d’eux, comme c’est eux qui paient, et si t’as du bol, ils te laissent en gros choisir ta voie, mais si ils sont pas d’accord, t’es parti pour leur faire plaisir.

T’as 25 ans, fini tes études, qui te plaisent ou pas, et t’es encore dans les codes, parce que là, t’as intérêt à être en couple, sinon on va dire que t’as un problème, et si t’es en couple, ptet qu’il faudrait penser aux gamins, et à se marier hein, avant 30 ans sinon c’est Has-Been. Putain ouaiiii, t’as franchi le pas, tu t’es marié, c’est énorme, t’adore (bon oui c’est bien hein, t’as le droit d’aimer ça et d’être heureux(se), ça c’est top). Maintenant… maman ou papa … et les enfants ? Ahhh t’es enceinte, ou ta femme est enceinte super… 1er enfant, Vous avez prévu le deuxième ? Mais putain de bordel de merde, tu peux laisser bite et vagin tranquille, enfin pas trop, mais l’aspect procréation en paix ? On a le droit aux Entraînements sans les matchs ? Y’a pas besoin de gagner la coupe pour se faire plaisir ou bien si ?

Bref, si t’as bien suivi le plan, t’as dans les 30 ans, t’es en couple, ptet marié, t’as 1 gamin ou deux, t’as normalement un job qui paie bien, et ptet bien que t’es propriétaire, parce que c’est important d’être propriétaire, c’est la suite. Ok… et Toi dans tout ça? Si tu plonges au fond de toi, je dis bien au fond de toi et pas ce que les gens veulent pour toi, est ce que ça correspond vraiment à tes valeurs ? T’es sur que tout ce que t’as accumulé te fais du bien ?

Ah merde, toi tu voulais voyager, rencontrer du monde, ne pas te caser tout de suite, ptet vivre de rencontres, de rires, de découverte, et respirer ce que la vie apporte de meilleur, mais tu t’es fait embarquer sans rien piger dans cette spirale incroyable de “codes et dogmes” culturels. Bon ok, c’est con, ça arrive, t’inquiète, t’es pas le ou la seule, mais t’as encore des soluces pour trouver tes valeurs (ouai tu sais comme les codes qu’on trouve dans les bouquins pour passer le boss de Super Mario Bros).

Alors là, t’es face à un choix. Soit tu poursuis pour faire plaisir à tout le monde, et tu vas finir par te barrer, tromper la personne avec qui tu vis, ou faire un burn-out, peter un plomb, et les avocats, juges, et psy & monde médical te remercie d’avance pour ton pognon. Soit, tu te poses, et tu t’écoutes, et tu en discutes avec celui ou celle que tu aimes.

Qu’est ce qui te fait vibrer, profondément, sans parler de matérialisme et des fringues, de tout ce que t’as accumulé sur ton bureau, de ta playstation et de tes affaires de gamer, ni de ta collection de cartes Magic que t’as pas encore viré depuis tes 15 ans.

Qu’est ce qui fait vibrer la personne avec qui tu vis (sinon tu t’en fous, tu fais ta série seul(e)). Il est temps de lister tout ça, et de redéfinir les valeurs, et une valeur c’est ce que tu ressens au plus profond de toi, qui fait partie de toi, et que là, à cet instant, tu décides de ne plus transiger dessus pour vivre pleinement.

Pour moi par exemple, c’est le temps, le temps est un trésor, et je décide que je veux avoir du temps pour moi, et j’aime le contact, mais pas tout le temps. Il me faut du temps pour moi, pour les autres, et faire des activités que j’aime, en contact, et en aide. Si je n’aide pas les autres, je ne suis pas bien avec moi-même. De la transmission, du partage, de la création, et de la découverte ça fait partie de moi. J’aime des moments simples. Des BBQ au bord de mer, une virée à ski freeride, du surf, une plongée ou snorkelling, surfer, et partager des rencontres, des moments simples et intimistes entre humains de toutes provenances et cultures.

ça semble beaucoup, mais au final, pour ça, j’ai besoin de peu, et je sais que c’est possible partout, naviguer, simplement, sans trop me poser de questions, avec les rires et l’amour comme guide sur la vie.

Une fois que t’as définis tes valeurs, c’est assez facile, car tout ce qui ne cadre pas avec ça, il est temps de t’en séparer, de faire le vide, pour retrouver la plénitude. Attention, ça va secouer, car tu risques de faire peter des scores de “putain t’es qui, je ne te reconnais plus”, mais tu vas y retrouver ton compte. Petit à petit, ceux qui sont là “pour être là” ne seront plus, et tu ajoutera d’autres personnes qui seront axées sur qui tu vas devenir. Comme une spirale, tu tournes pour t’élever vers qui tu souhaites être et non qui les autres souhaitent que tu soit.

Meaning my life, c’est tout ça, c’est ta spirale, tes valeurs, tes ressources, ta connexion à toi, à ta profonde identité d’âme, et je te jure, parce que là, y’a que ça à dire, mais quand tu observes tes programmations et que tu vois comment tu te reprogrammes à être juste heureux, eh bin putain… c’est le méga Kif international des valeurs !

… Bon, le truc, je dois te l’avouer… C’est sans fin ! Parce qu’on est humains, et on est duals, on aime et après on aime plus, mais parce qu’on évolue, c’est vraiment le pied, et perso, aucune chance de retour en arrière, car là, c’est trop précieux de pouvoir faire ce que je souhaite de ce trésor qu’est mon temps.

et toi.. tes valeurs ? T’es prêt à surfer sur la vague de ta vie ? Alors Go, parce que là… Tu vas adorer.

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