MEANING MY LIFE

Vivre en mode minimaliste, simplement, facilement, sans complexe.

Se déposséder pour se reconquérir

Tu t’imagines, tu vois la vie, tu sais, ces codes, ces cases à cocher que l’on nous vend depuis l’enfance. Mais oui, tu sais, fais des études, passe ton permis, un copain ou une copine, puis un job, un appartement, peut-etre une maison, un animal de compagnie, le mariage, un enfant, là on te dit, deux ? si tu te lances dans deux, on te demandera.. à quand le troisième ? Puis viennent les petits-enfants, et j’en passe. Et si, tout ceci était un programme qui n’a aucun sens pour certains, et qu’il serait bon de se déposséder pour se reconquérir.

Comment se déposséder ?

L’idée de se déposséder c’est de faire un chemin de réflexion sur soi, une grosse introspection, sur les codes qui nous conviennent ou ceux qui ne nous conviennent pas. C’est peut-être accueillir nos imperfections, et nous offrir une table rase, selon nos codes, nos envies.

Il n’y a donc pas d’âge pour cela, ça peut se faire dès l’adolescence, l’âge adulte, et surtout, apprendre à se délester de notre besoin de posséder, d’avoir plus, de savoir plus, de faire plus, toujours plus, plus, plus, dans la checklist de la possession de notre âme, ou de l’amour de nous.

Il y a diverses manières de faire pour se déposséder, et ça commence par le matériel, moi j’ai commencé par un stylo et j’en suis actuellement à vivre dans un Dacia Duster aux Canaries, à prodiguer des soins à distance et à explorer la simplicité du rien, du vide, de l’inconnu.

Ensuite, viennent les relations sociales, et parfois la plus complexe peut-être la famille. Je ne dis pas que tous doivent se déposséder de leurs relations sociales, mais certaines ont besoin d’être libérées, remerciées, et bloquées afin de retrouver ses marques. Est-ce un manque d’amour ? Non, clairement pas, par contre cela pose le cadre de la non-redevabilité des actes de nos parents ou de nos actes. Nul n’est redevable de rien, quelque soit la situation, et malgré ce que la société ou nos codes tentent de nous inculquer.

Si une chose a été effectuée, offerte, donnée, transmise, c’était le cadeau, et il n’est pas de retour obligatoire, ni d’etre redevable, car ça, ça n’est pas de la reconnaissance.

Une fois les relations, les biens dépossédés, on réalise souvent qu’avec le peu que l’on a, c’est déjà beaucoup. Personnellement, j’en suis à 4 sacs à dos, et vous me direz peut-être que c’est car je vis dans mon Duster que ça semble beaucoup, mais en même temps, as t’on besoin de choses qui ne nous servent pas, ou qui font partie d’une autre vie, d’un autre moment, d’un autre aspect qui ne résonne plus actuellement ?

Se reconquérir

Une fois ce chemin de dépossession effectué, et ça se fait comme un oignon, il est bon de passer par son âme, son être, qui l’on est, ceci par un travail de thérapie. Cela peut-être tout d’abord par de l’EFT, du coaching, ou comme je le pratique, de l’hypnose, auto-hypnose, méditation et soins énergétiques, tout en s’offrant ce cadeau de se libérer de nos parts “briques” de notre sac à dos.

Nous pouvons ainsi explorer les codes établis, ceux qui ne nous n’avons pas souhaité, ceux auxquels nous avons réagi depuis des années, et ceux qui créent en nous des vibrations dissonantes. C’est un peu une forme de chemin de compostelle, une redécouverte de nos énergies, de nos vibrations, de nos envies.

Il faut savoir qu’en faisant ce chemin de se reconquérir, nous libérons encore, nous dépossédons encore, car nous déposons ici et là des parts identitaires, des parts de notre égo, et réorganisons notre propre cadre de vie, afin de pouvoir observer différemment ce qui nous est offert.

Se reconquérir, c’est s’offrir la vacuité, c’est s’offrir ces moments à soi, peut-être un jour, une semaine, libre de toute attache, enfants, famille, amis, travail, téléphone portable. C’est s’offrir l’inconfort de penser, de ressentir, c’est s’ouvrir à la vie, à la beauté de qui nous sommes.

Se réinventer

Comme notre vie, l’univers, et les énergies, nos états sont cycliques, et nos réalisations également, ainsi, nous allons escalader la montagne, peler l’oignon, découvrir d’autres couches, de la transparence, de nouveaux aspects. Explorer une forme de nudité, tant physique, matérielle, identitaire que psychologique, et ça, ce que je peux vous dire, c’est que c’est vraiment intéressant.

Personne n’est préparé à l’inconnu, et pourtant nous le vivons tous les jours. Nous souhaitons, avons des désirs, des envies, et du contrôle sur ce qui doit se produire, comment ça doit se produire, et avec qui. Nous swipons, les gens, relations, jobs, activités, car nous sommes des monogames en série, des zappeurs inconditionnels. Nous croyons dur comme fer que nous sommes différents, et pourtant, qu’est ce qu’on mange, y’a quoi à la télé, on fait quoi ce soir, et j’en passe fait partie du quotidien de bien des gens, et des familles.

Un gros “je ne sais pas, et je m’en fiche, ça sera juste” est une belle réponse à l’inconnu, celui de la seconde qui suit, du jour qui suit, de la vie qui suit. Est ce que ça veut dire ne rien faire pour se réinventer ? Non, clairement pas, mais ça veut dire aller avec ce que l’on ressent, notre alignement, notre coeur, et nos envies, celles du moment, de l’instant.

Se réinventer, c’est oser être le champ des possibles, c’est découvrir notre âme, c’est nous ouvrir à ce que nous n’avons jamais osé, car nous avons déposé nos croyances, limites, dépendances, incongruences, et autres facteurs externes lors de notre chemin thérapeutique vers nous.

Vivre simplement, vivre pleinement

Cet oignon, ces expériences, ces aventures ne sont pas anodines, certaines vont bousculer, car quand l’on chemine, l’on se transforme, nous déplaçons des pièces dans la conscience, et certaines personnes ne sont pas prêtes à voir ces pièces se déplacer, ces cordes bouger, et cet ancien monde se dissoudre, ou s’effondrer comme un château de cartes.

Dans le retour à soi, à la simplicité de la vie, parfois on ne fait rien, rien du tout, on explore le fait de respirer, de voir le soleil, de manger, de revenir aux besoins primaires de maslow, et en même temps, cela nous offre à nouveau l’ouverture à notre esprit, à nôtre coeur, aux manques, ou aux envies, et à ce qui nous inspire, dans la simplicité.

Une fois dépossédé, reconstruit, réinventé, nous accédons à un autre état d’être. Très souvent incompréhensible à ceux qui n’ont pas fait ce chemin, et il n’y a ni bon, ni mal à cela. Nous ne sommes pas dans l’apologie ou le dogme de cette dépossession, ni de celle de devoir faire comme nous. Nous faisons cela pour nous, pas contre l’autre, ni pour l’autre… juste pour nous. Ainsi, nous apprécions également ce fossé qui peut se creuser, et les nouvelles rencontres que cela va nous offrir, afin de nous aligner à de nouvelles énergies.

Nous retrouvons goût à des choses simples, des choses complexes, à la saveur de l’instant, à la joie pure de l’existence, tout en sachant que la vie est faite de hauts et de bas, et qu’ils font partie des choses sur lesquelles nous surfons, plus facilement, sans accroche, sans animosité, car ils sont la vie, simplement.

Une tranche de vie…

Je suis arrivé à FuerteVentura, après cette magnifique grippe, crise de guérison, qui est encore en cours de libération, pas à pas, et j’ai pris un cours de surf aujourd’hui. Pour certains c’est simple, pour ma part, c’était un chemin, de m’offrir ce retour à l’eau, cette reconnexion, accepter également de ne pas arriver à me lever, accepter la complexité du sport, les muscles qui font mal, et me dire que je souhaite y arriver, juste pour le plaisir, sans dogme ou obligation.

Ensuite, côté confort matériel, j’avoue que je pourrais rajouter quelques éléments de confort à ma vie en SUV, par exemple, en effet, trouver un van au lieu du SUV. Ca ne changerait pas ma problématique qui est un apprentissage du cheminement.

Donc une solution intermédiaire serait de me trouver un coffre de toit, des barres, histoire de poser mes sacs à dos, restructurer, et avoir plus d’espace dans “ma maison sur roues”, pour la rendre plus confortable. Je sais également que le temps fera son affaire, soit parce que je décide d’investir dedans, soit parce que je décide de faire un peu de bricolage pour me permettre ce confort, petit à petit.

La suite du cheminement nous met face à nos parts qui se transforment. Ainsi j’ai passé par de jolis soins énergétiques, et par des interactions humaines qui m’ont également montré, si je n’avais pas encore compris, que l’amour de soi, l’amour tout court, ne provient que de nous-même, et que, si nous nous laissons affecter par ce que pensent, disent ou écrivent les autres à notre propos, en les blâmant, les jugeant, ou en nous blâmant ou jugeant, nous sommes encore en chemin.

Ainsi, c’est une exploration de soi, de l’amour, de la vie, de l’espoir, et du non-attachement qui nous est offert sur ce chemin de dépossession, reconquête, et réinvention de soi, et, convaincu de la beauté du parcours, des rencontres, et de ce que l’on laisse derrière, je ne puis que le recommander à chacun d’entre nous.

Et vous, la reconquête de vous-même, vous en êtes ou ?

MEANING MY LIFE

Vivre en mode minimaliste, simplement, facilement, sans complexe.

Minimalife & multi-potentialité

La réflexion derrière minimalife est de réduire les activités, comme vous l’aurez compris depuis un petit moment déjà. C’est en ce sens que la problématique pourrait se poser pour le multi-potentiel être vivant que je suis. Tantôt j’écris sur ce blog, parfois photographe, mon activité en tant que hypnothérapeute et énergéticien prenant l’axe principal professionnel, j’écris de la poésie, passe du temps avec mes proches, aime faire du sport (tranquille ici et là), ce site minimalife, et ne rien faire également. Tout un programme, sacrément minimalife ou minimaliste me direz vous… peut-être, ou pas, finalement… on s’en fout non, ce qui compte… c’est mon essence !

Quid donc de la multi-potentialité que j’applique dans mon minimalisme, et ce minimalife. J’ai cet aspect catalyseur, et conscience que les gens viennent me parler, échanger, me raconter des choses ici et là, s’approcher, et je trouve que c’est une des merveilles de cette idée du minimalisme que j’ai en tête et dans le coeur.

Comment peut on imaginer associer plein d’activités tout en étant minimaliste, et souhaitant avoir une vie faite de sens, de minimalife ?

Eh bien c’est simple… j’applique les mêmes concepts que partout ailleurs. Vous savez, ma méthode 1,2,3 du minimalife ? Eh bien… pour les activités c’est pareil. Je n’ai aucune obligation ni devoir de poursuivre quoi que ce soit, ne serait-ce que parce que je l’ai fait une fois, 10 fois ou mille fois. Toutes ces décisions sur les activités, les rencontres, les moments passés, les professions, ou les biens matériels, sont voués à une apparition et à une disparition.

La complexité parfois ressentie est celle du devoir… cette perception de “je dois continuer”, j’ai commencé, alors je dois finir… comme notre salade dans l’assiette, que j’ai honteusement aujourd’hui souvenir d’avoir forcé ma fille petite, à manger au petit déjeuner… (Je t’offre volontiers la séance hypnose chez un confrère pour dégager ça ma chérie).

Ainsi, pourquoi nous sentons nous forcés à agir, faire, avoir, etc ? alors qu’en fait il n’y a rien à faire, ni à acter pour avoir de l’amour de nous ? La multipotentialité, comme le minimalife, repose sur le concept précis de ce qui est juste et bon pour nous. Pas sur Rien, ni sur énormément. Mais l’essence même de tout cela repose sur nos propres épaules et notre amour de nous, afin de simplement pouvoir dire… là, Ça fait sens, et dans 1 heure, je ne sais pas, mais là oui… et ça ne fais pas sens car je me sens le devoir de le faire pour autrui, mais simplement pour moi.

Cette idée que j’ai du Vanlife, du nomadisme que j’imagine, je là vis pleinement, dans toute sa splendeur, et grâce à cela, j’ai plaisir à ces activités, quand je les fais. Profitant d’aller voir du monde quand je le souhaite, voyager comme je l’ai fait en pleine pandémie, ce qui semble incongru à bien du monde, et pourtant, dans mon monde à moi, là ou j’honore la vie, c’était juste. Qu’importe l’avis d’autrui, sa vision, son prisme, j’exerce ce droit sur ma vie et mon minimalife, par ce biais, libre d’être qui je souhaite être, dans la douceur de l’âme que je suis.

Et vous, les multi-potentiels ? vous-êtes probablement aussi des démarreurs, des motivateurs, des idéalistes utopiques avec les pieds sur terre, doutes, ressentiments, questionnements, et la tête qui tourne dans tous les sens pour tenter de trouver du sens à ce sens qui est le votre, sans dessus dessous, si cela fait sens… pour vous.

Si je puis m’aventurer au travers de mon prisme, à vous suggérer de jouer avec vos envies, de vous amuser, de rire, d’explorer, de vous délester de tout ce qui ne sert plus, même si… peut-être, dans 6 mois vous sentirez le besoin d’acquérir à nouveau… Car ainsi, la vie, la plénitude, l’anti-conformisme au fond de votre être sera accompli, quand bien même la société souhaite des anti-conformistes qui entrent dans le moule.

Alors, pour ma part, j’ai encore à donner, à vendre, à liquider, bien des choses, des rallonges, des livres, quelques meubles, sans avoir un appartement vide bien entendu, mais toutes ces choses qui ne m’apportent plus joie ou besoin actuellement, afin de savoir que, si ça rentre dans un van, ou si je ressens que j’aime avoir ces choses auprès de moi, alors elles font sens.

Une progression, et qui sait, peut-être, juillet, août, en van, en nomade, l’océan, ou qu’il soit, tout en vous guidant ou explorant avec vous, cette pure beauté qu’est la vie.

Et vous ? ça Farte ?

MEANING MY LIFE

Vivre en mode minimaliste, simplement, facilement, sans complexe.

Ta cave n’existe plus

Tu sais, cette petite ou grande cave, celle qui est en bas de ton immeuble, ou de ton galetas, ou ce garage que t’as, ou une cabane de jardin. Aujourd’hui, je te propose de lâcher prise de tout ça, et de t’imaginer, t’imaginer qu’elle n’existe plus, et que tu n’y as plus accès dans 1 semaine.

Chaque espace de stockage doit correspondre à cet aspect de ce questionnement à mon sens, tant spirituellement que matériellement. Je te rappelle le concept, tu le sais déjà certainement si t’as bien lu, et je sais que tu as bien lu, car tu le fais pour toi… et que tu te le permets, car c’est bon pour toi.

  • C’est utile, je l’utilise
  • C’est utile je ne l’utilise pas (donc je m’en débarasse)
  • C’est inutile, je ne l’utilise pas (donc je m’en débarasse)
  • C’est utile, je ne l’utilise pas… MAIS je ne suis pas prêt à m’en débarrasser maintenant

Donc ta cave, ton garage ou autre… Je te propose de tout sortir, ou de te donner un temps d’une semaine (car si on ne donne pas de temps, on ne s’en sépare pas), pour faire ton tri, donner à des oeuvres, vendre sur des sites de seconde main, marketplace sur facebook, filer à des amis et j’en passe… En gros tu vires, tu vires, tu vires !

Ta cave, tu sais, c’est l’endroit ou tout se planque, en gros, imagine que c’est un carton, ou des boîtes, ou des placards, parce que finalement c’est pareil. La fameuse phrase … On va mettre ça à la cave, ça peut toujours servir.

Alors si t’as osé te lancer dans le tri de ton bureau, t’es bien parti.

Je ne sais pas toi, mais si t’as déjà un certain age, tu as peut-être du participer à des déménagements de potes, ou à vider un appartement suite à un décès dans la famille. Et là, tu te retrouves à trier des trucs de partout, cave, grenier, garage, et l’appartement ou la maison complète, et limite tu commence à sentir la tension, et le poids de devoir gérer tout cela. Maintenant, as tu envie de cela pour toi ? D’être cet écureuil qui stocke des noisettes dans 80 arbres “au cas ou”, sauf que c’est pas pour survivre, c’est parce que tu sais pas où ranger ce putain de caquelon, ou ces 5 vélos trop petits des enfants, et j’en passe.

Donc tu as le choix, en fait c’est simple, tu as deux choix, faire ou ne pas faire, et après c’est à toi de te sortir les pouces du cul pour t’y mettre, mais ça, y’a que toi qui peut le faire. Si tu n’y arrives pas, l’hypnose aide, parce que c’est une programmation qui a été ancrée, par ce que tu as vécu… genre tes parents n’avaient pas trop de sous, t’as du serrer la vis, peur du manque… ou j’en passe, mais y’a des trucs qui péclotent.

Alors c’est parti, t’es prêt ? Chaque carton, chaque tiroir, chaque armoire de ta cave, tu la vide, et t’es bien parti pour te sentir plus léger, parce que quand c’est dans la cave, c’est souvent un cache-misère, et tu vaut bien mieux que tout ça, et tu le sais.

Perso j’en suis à garder juste l’administratif à la cave, et j’ai mon matériel de sport que j’utilise selon les saisons. Le reste, je suis en train de vendre, virer, dégager, parce que ça ne me sert pas, et je n’en veux pas. J’ai eu la chance, mais tellement de chance, d’avoir tout cela, d’en profiter pleinement, et maintenant il est temps de passer à autre chose, et mettre en place la vie que je souhaite, sans tout l’aspect “non utile” de ce que j’ai stocké.

La finalité d’une vie n’est pas d’être utile, c’est plus une quête de sens, et le sens pour moi n’est pas le même pour toi, et ça c’est crucial. Trouves ce qui fait sens pour toi, mais questionnes toi sur le fait de pourquoi tu as l’objet. Est-ce pour “te montrer aux autres car tu as quelque chose de cher”, ou est-ce que ça te procure réellement un bonheur, et une sensation de plénitude ?

Alors, c’est parti, de mon côté, j’avance, j’ose me dire “le au cas ou, j’en veux plus”. Et si je dois mettre 10 cartons d’admin à la déchetterie… quelle est la probabilité qu’on me les demande ? Et si j’ai déménagé.. ça peut se perdre, se dégrader, donc on peut demander aux organismes de nous transmettre genre les déclarations d’impôts, les rapports de jugements et les actes officiels, ça coute quelques francs parfois, mais si je dois mettre 200chf un jour sur des documents au lieu de stocker (et devoir retrouver parmi tout ça, 4 feuilles dans 10 a 15 cartons d’admin), mon aspect du trésor du temps est primordial, et passe avant.

Allez, hop, au boulot… enfin au plaisir de te sentir libre et mieux dans ta vie !

>