MEANING MY LIFE
Vivre en mode minimaliste, simplement, facilement, sans complexe.
Se reconnecter à sa lumière
Parfois dans la vie, des événements, des situations, des tranches de vie, rarement simples et plaisantes, nous forcent à nous reconnecter à notre lumière. Cette année 2020 est pour moi une nouvelle de ces années, comme je pense pour bon nombre d’entre vous si vous passez par ici, pour découvrir ce blog.
La reconnexion à sa lumière (j’ai envie de dire divine) à chacun la sienne, c’est un peu cette clé de voute, à mon humble avis, de repenser tous ses schémas, ses programmations, ses codes, et vivre sa vie selon ses propres codes.
En 2020, la planète bouge, les manifestations grondent, la vie se tasse, se renferme, les gens portent des masques au propre comme au figuré, l’école passe à domicile, les enfants sont masqués, des amis s’en vont, des couples se séparent, ma femme décède… Non, ce n’est pas “Game Over” malgré que le Boss du niveau 20 a bien claqué tout ce qu’il pouvait y avoir à claquer.
En la vie il est temps de croire, en la lumière il est temps d’espérer, en l’univers il est bon de se tourner, et en soi il est bon d’observer, afin de trouver la lumière qui nous portera le long de notre chemin.
Ainsi, me voici à poursuivre mon chemin, celui du soin, à autrui, à moi-même, la photographie, des gens, à voir leurs âmes au travers d’exploits sportifs, de l’enseignement, à des personnes de + de 55 ans ne sachant pas se servir d’un ordinateur… la boucle est bouclée, c’était mon argent de poche quand j’avais 12 ans.
Mais en cela, leçon à tirer il y a, et pour ma part, c’est la vie, le temps, et le trésor que le temps est. J’aurai donné des millions pour avoir des heures, des jours de plus auprès de la femme que j’aime et que j’ai aimé. Refaire le monde, le jour de la marmotte, revenir, trouver une solution, avancer, trouver la clé… cette putain de clé permettant d’avancer encore un peu de concert, toi et moi, Isa.
Aujourd’hui, comme je le disais le soir ou tu es partie, faire le grand saut, car c’était cela, être juste, accepter qu’il était temps pour toi de quitter ce corps physique, pour renouer avec la lumière, avec ta lumière divine. Alors non, renouer avec la lumière divine ne veut pas dire s’en aller physiquement, bien entendu. Pour certains si, pour d’autres non, mais c’est dans le chemin que nous prenons que la lumière et l’amour prennent forme et tournure.
C’est ainsi qu’il est bon de poursuivre ses rêves, et que minimalife permet, à qui bon aimerait le lire et en tirer des éléments de réponse, de trouver ici et là, au travers de ces ébats verbaux, un peu de réconfort et de douceur oh combien nécessaire.
Se reconnecter à la lumière, c’est apprécier tout ce que l’on a. Un sourire, un moment avec les parents, un mot avec des amis. Préférer peut-être un coup de fil à un mot sur Whatsapp ou réseaux sociaux. Envoyer une photo à un ami, pour lui rappeler qu’on est là, et qu’on pense à lui, car on en a envie, et pas pour sa réponse.
C’est aussi prendre des décisions, et pour ma part, le minimalisme se poursuit. Passant d’un 220m2 à un 140m2 à un 65m2 environ, j’ai du trier, faire le vide, et en me retrouvant là, seul, face à moi-même, mes craintes, mes doutes et mes démons, j’ai réalisé que le matérialisme était encore présent, bien entendu, avec la grande gratitude que j’ai d’avoir tout cela.
Cependant, la merveilleuse part de cela est de me questionner sur la nécessité de tout cela, et sur mon besoin profond d’avoir tous ces biens matériels, et je poursuis avec plaisir et amour, la réduction, ici et là, en vidant mes placards, mes penderies, et en observant mes comportements d’achats (ou de non achats).
La vie me mène à plus de partage, à des connexions divines, à des lectures énergétiques, à de l’hypnose afin de m’approcher plus du féminin sacré en moi. C’est ainsi que parfois, des lourds traumas, des situations de désamour de soi, de troubles de la sexualité, d’alcoolémie et j’en passe viennent à moi, de par les personnes en ayant besoin.
La lumière, la reconnexion à la lumière, c’est apporter de la lumière à qui en a besoin. C’est permettre à ceux et celles qui sont dans l’ombre d’avoir accès à la lueur, d’y voir de l’espoir, de l’amour, et une profonde capacité à créer ou à se renouveler face à des situations extrêmes, et apprécier tout ce qui existe avec la plus pure gratitude.
C’est ainsi qu’en mode minimaliste, je poursuis mon apprentissage d’expériences, d’échanges, de partages, quand j’en ai envie. Que l’hypnose me permet de m’ouvrir à quelque chose de neuf, que les guides qui m’entourent m’apportent du soutien, et que mes envies de poursuivre une expérience d’existence nomade m’attirent de plus en plus.
Passant du temps avec ma mère, j’ai réalisé à nouveau l’importance du temps, et de ce trésor qu’il est. A 74 ans, une opération de la hanche il y a peu, elle gambade, se claque des monstres randos et après souffre de son opération et du remplacement de sa hanche. Je lui rappelle l’importance de s’aimer, et de remercier son corps pour tout cela, et n’oublie pas qu’il est important qu’elle prenne soin d’elle, de son compagnon, et que mutuellement ils s’aident, et s’apportent de l’amour.
Nul ne sait de quoi est fait demain, mais il est entendu que le matérialisme n’aidera en rien, au bout du chemin, si ce n’est à permettre, par sa liquidation, à gagner parfois quelques heures de plus avec eux qui, au fond, sont la raison de notre existence.
C’est pourquoi, il est temps de se reconnecter à notre lumière, à notre essence, à ce qui fait que l’on est au service de l’autre, au service du temps, au service de l’espoir et de la vie.
Ma réflexion porte sur la vie que je souhaite mener, et ce nomadisme, cette envie de liberté, qui au fond, je le sais n’est qu’intérieure si je veux bien me l’avouer, et que ce n’est pas la maison qui fait la liberté, mais la liberté intérieure qui n’est autre que mon centre, ma maison, mon véhicule, ce corps humain dont je suis constitué.
VanLife, Surf Life, Energy Healing life, hypnoLife, alors que je n’ai surfé que 15 jours dans ma vie, quelle est la quête ? Cette envie de grands espaces alors que je reste dans mon appartement une fois ma journée terminée… Une dualité particulière, que je ne sais expliquer. Mais une chose est certaine, l’observe la vie, sa beauté, et les moments clés comme une discussion dont l’importance est amplement plus grande qu’un bien matériel ne pourra jamais apporter.
Une chose est certaine, j’aime partager, transmettre, aider l’autre à s’aimer car j’apprends en même temps à m’aimer moi-même, et si, le temps d’un instant, ça vous dit d’explorer, alors je vous y invite… chez tout est juste, car c’est cela, malgré parfois, les tourments et la tristesse que cela renvoie… nous y sommes, chez nous, en nous, car là… tout est juste.
Ainsi je vous livre, sans détours, sans complexes ni réflexion annexe, cette part de moi qui, en un sens, je le sais, est une part de vous également. Le projet est en préparation, en maturation, et il sera bientôt temps de lâcher l’esprit et la réflexion pour passer à l’action.
Quelles sont les craintes, les doutes, les résistances, les réflexions, les limitations que l’on se pose, chacun, afin de ne pas aller au bout de nos projets. Comme si la routine devenait l’essence de la vie alors qu’on ressent profondément l’ennui d’une vie sédentaire tournant comme un hamster dans sa propre roue…Tine.
Désirer, aimer, respirer, vivre, explorer, sans complexe, dénués de nos couches d’oignons superficiels. Il est temps d’aller, de se mettre à nu, de se laisser aller à ce que l’on est vraiment, sans masque, sans artifice, afin de permettre à tout ceci, notre vie, de se réaliser selon nos propres termes. Car comme disent certains auteurs, notre deuxième vie commence quand l’on réalise que l’on en a qu’une… Et je crois que ces derniers ont bien cerné qu’il n’est nul question de l’âme et de son immortalité, mais bien de notre essence Humaine au travers de cette incarnation et de notre véhicule emprunté pour l’occasion.
Prenez soin de vous, et à très bientôt pour de nouvelles aventures sur la route de l’épuration intérieure au profit d’une simple expérience qu’est la vie.